Publié le 10 novembre 2023
Catégories : Sujets Divers

La plus grande compétition de la vie en société c’est d’avoir quelque chose à offrir, et parfois, pour plaire aux autres ou pour se faire accepter, on cherche à offrir quelque chose liée à certaines de ces pressions sociales. Il peut s’agir d’une compétence (nous n’apprenons pas ce que l’on veut), de ce que l’on possède (on veut posséder plus) ou tout simplement l’apparence physique (maquillage, chirurgie esthétique au niveau du corps : des fesses, des seins, du visage), et encore. Mais ce qu’on offre doit être utile, attirer les autres. La société nous impose des pressions que l’on suit, inconsciemment, et ce dès notre plus jeune âge, il peut s’agir de la peur de se faire rejeter (on cherche à donner bonne impression) ou encore, on cherche son identité, vouloir se faire accepter, vouloir ressembler à quelqu’un qu’on adule. La vie ne fait pas de cadeau. L’homme a rendu la vie en société difficile, très matérielle et compétitive, ce qui nous écarte de l’essentiel, de ce dont on a réellement besoin. Nous ne sommes plus libres, totalement, de nos choix, de nos comportements, de nos paroles et même de nos pensées, sans exagérer. Certains ne vivent que pour la société mais on ne peut se permettre d’évoluer sans ses pairs pour se faire apprécier, respecter et pour notre avancement social personnel.

Ceux qui nous ont élevé ne peuvent nous inculquer que ce qu’ils pensent être le mieux pour nous, et comment ? En grandissant on comprend mieux que la société nous impose des règles à suivre sous peine d’être jugés ou de se faire sanctionner (moralement) par nos semblables et pour cela on évolue, on s’adapte pour le mieux, tout en oubliant parfois qui nous sommes réellement et même devenir quelqu’un que nous ne sommes pas. Et d’ailleurs, nos semblables sont-ils parfaits, ne se font-ils pas aussi juger comme nous, ne subissent-ils pas aussi de pressions, mais, malgré cela, à voix haute ou dans leurs pensées, ils continuent toujours de juger les autres, c’est comme si on ne peut s’en empêcher de le faire. Est-ce à cause de notre éducation sociale qui n’est pas la même pour tous ?

Les pressions sociales que subissent les hommes sont-elles différentes de celles que subissent les femmes ? De quoi a-t-on réellement besoin pour vivre en société ? Quels sont les impacts positifs et négatifs des pressions sociales sur l’être humain ? Peut-on dire que sans certaines pressions sociales l’être humain se comporterait n’importe comment ou ferait n’importe quoi ? Peut-on dire que certaines pressions nous aident à nous améliorer, à avoir une certaine pudeur, pendant que d’autres nous traumatisent ou encore nous inculquent des peurs inutiles et injustifiées ? Peut-on aussi dire que d’autres conduisent à la peur, l’anxiété, le stress, la stigmatisation et j’en passe ? Tout cela ne dépend-t-il pas de l’éducation parentale et sociale de chacun ? Existe-t-il ou existera-t-il réellement une solution à cela (vu qu’on ne peut empêcher quelqu’un de penser) ?

1 Commentaire

  • Les hommes et les femmes dans les pressions sociales ne sont pas égalitaires, et on ne peut dire non plus que les femmes en on plus que les hommes…un situation sans mots quoi😂

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